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CONFIDENCES DE SOUMIS

Dimanche 19 mars 2017 7 19 /03 /Mars /2017 18:10

UN DE MES PREMIERS SOUMIS QUI REVIENT DIX ANS APRES...

 

J'ai roulé tranquillement pour arriver toutefois en avance au RDV.

A mon texto pour signaler ma présence je reçois une réponse me disant que j'étais en avance, peu importe j'attends votre coup de téléphone avec impatience.

A la première sonnerie j'ai le cœur qui s'accélère et en répondant le simple "allo" ma voix s'est déjà nouée, puis vous me décrivez la route à suivre et j'arrive facilement chez vous.

En descendant de la voiture j'essaye de ne rien montrer de mon émotion, pourtant profonde, et vous retrouve comme je vous avais connu ... toujours aussi belle dans une tenue splendide.

Je vous écoute parler en buvant vos paroles mais néanmoins mon regard ne peut s'empêcher ne vous détailler tout en essayant de rester discret et je sens mon excitation me serrer un peu plus la gorge en attendant le moment où vous me direz de vous suivre.

L'atmosphère est très détendue, me semble-t-il entre nous, mais à l'ordre "suis-moi" j'ai le cœur qui se remet à battre très fort.

 

Nous entrons dans le donjon, une pièce tapissée de "jouets" tous plus impressionnants les uns que les autres avec une moquette épaisse au point que je regrette d'avoir garder mes chaussures pour la fouler.

Après une description de l'endroit le premier ordre cingle:"tu vas te rafraichir puis revenir nu m'attendre devant la croix à quatre pattes."

Une rapide douche et je reviens obéir et attendre votre retour qui se passe sans un mot de votre part, je sais qu'il faudrait que je me cambre mais j'ai encore un peu honte de ma position, ce qui me vaut le premier reproche de votre part.

Ensuite tout s'enchaine et mon corps sait qu'il va devoir être résistant aux premiers coups de cravache qui me cinglent de temps en temps les fesses alors que vous me redonnez les consignes du "jeu".

Votre voix reste toujours calme mais je vois votre bras s'armer dans les miroirs alors que les coups de différents martinets me cinglent la peau de plus en plus fort, m'arrachant quelques gémissements. (le "langue de serpent" est le plus violent)

Je me force à ne pas crier et en même temps j'ai honte de ne pas avoir d'érection.

Puis vos doigts s'empare de mes tétons et commence à les travailler durement me faisant enfin durcir contre votre botte glissée fermement entre mes cuisses ouvertes.

Quelques manquements aux règles me valent une claque violente sur la joue pour me rappeler de ne pas oublier ma condition de soumis.

Ma souffrance continue mais j'aime savoir dans votre regard que vous aimez me faire cela aussi intensément que j'aime le subir.

Mes bourses et sexe attachés, les pinces de plus en plus serrées sur chacun de mes petits bouts mais aussi sur la peau de mes bourses me font me mordre la lèvre pour ne pas crier.

Je sais que vous continuerez jusqu'à ce qu'à un moment je prononce le mot "pitié" mais je désire retarder ce moment le plus possible même quand la douleur est si forte que je dois fermer les yeux en gémissant de douleur.

Quelque chose a changé en vous depuis la fois dernière, je peux vous regarder dans les yeux et voir votre plaisir à me voir à votre merci et j'adore votre regard clair me fixer en même temps.

Le travail hard de mes tétons avec la présence des pinces me font de plus en plus mal et pousser quelques cris alors que vous me rappelez à l'ordre d'un simple "tss tss  chut" dit très calmement.

Les vibrations des œufs sur les tétons déjà très sensibles et sur mes bourses serrées fermement par les pinces me font encore gémir plus fort.  

Votre main me serre le gland tout en appuyant les deux boules dessus, j'ai peur de jouir sous ces vibrations très fortes et vous le dit mais pas de la bonne manière qui aurait du être le mot pitié. Je reprends une claque retentissante sur la joue pour encore me rappeler les règles.

Puis vous me faites trop mal en soulevant les pinces accrochées à mes tétons et je sais que je ne vais plus pouvoir résister plus longtemps tant la douleur est vive et me monte au cerveau, alors je prononce le mot que je m'empêchais de dire:  << Pitié Maîtresse>>  Je respire très vite mais  mon corps nu aime sentir votre contact contre moi alors que vous me dites de respirer, j'aimerais vous serrer dans les bras pour vous faire sentir ma passion mais je sais que je n'en ai pas le droit...

C'était la première fois que je rentrais dans un "donjon" mais j'ai tout trouvé beau, même si je suis sur de ne pas avoir tout vu, et aussi la première fois que j'ai du m'offrir dans un sling . J'ai encore le regret de ne pas avoir su m'offrir mieux à vos doigts qui me fouillaient mais en y repensant peut être est ce aussi une allergie au plastique des gants. Ce fut le seul moment désagréable pour moi.

Je ne suis pas un fétichiste des pieds mais j'aime les embrasser de petits baisers (ou les lécher) en sachant que vous aimez surement me voir le faire ainsi couché à vos pieds.

Le moment de pouvoir me masturber à genoux devant vous a été un intense moment de plaisir, alors que vous me serrez de nouveau les tétons devenus hypersensibles, j'ai joui d'une force terrible qui a duré très longtemps pour ensuite lécher mes doigts souillés de mon sperme comme un chien.

 

Une séance que je voulais vous raconter, en ne disant pas tous les détails bien sur, car j'ai beaucoup aimé et j'aurais aimé continuer à vous parler et rester dormir le soir au pied de votre lit en attendant de pouvoir vous servir le petit déjeuner à votre demande ... tant je me sentais bien auprès de vous.  

Voila je viens de me réveiller, j'ai écrit cela hier soir, et mes petits bouts sont encore sensibles et me forcent à me rappeler de vous ainsi que les marques sur les cuisses et fesses qui sont encore présentes... mais je suis fier que vous me les ayez faiteS.

Par Mira Domina - Publié dans : CONFIDENCES DE SOUMIS
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Samedi 4 janvier 2014 6 04 /01 /Jan /2014 00:09

... découvrir des perles...

"Maîtresse, vous êtes une grande artiste !

Vous êtes une musicienne virtuose. Le corps masculin est votre violon, le fouet est votre archet. Vous jouez sur votre instrument de subtiles et violentes symphonies, pianissimo, puis piano, rinforzando, allegro con brio, fortissimo.

L’archet passe sur toutes les cordes, il effleure, il frappe plus fort, il mord férocement, il marque une pause, puis il rejoue une phrase endiablée, du haut en bas de la gamme. Et l’instrument répond, les sons deviennent aigus, les cordes vibrent. « Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige » - comme un corps qu’on fustige.

Vous êtes une chorégraphe experte. Avec vous le corps nu du danseur, comme une liane, se tord dans tous les sens. Les fesses d’instinct se rétractent, dans le vain espoir d’esquiver la lanière, mais sur un mot de vous, repentantes, elles s’offrent à nouveau pour la recevoir de plus belle. Sur un signe de vous les genoux se ploient, les mains retombent à terre, l’arrière-train de la bête est de nouveau offert aux coups. Puis le ventre rampe à terre, le sexe raclant la moquette, afin que la langue puisse passionnément courir sur vos bottes : sur la pointe, sur le dessus, sur la semelle, autour du talon, humblement, patiemment, longuement, tandis que le corps à plat ventre frétille pour épouser tous les mouvements de la bouche. Debout, puis couché sur le dos, suspendu, à genoux, à plat ventre, à quatre pattes, réagissant à votre voix, à votre geste, à vos gifles ou à votre fouet, sans cesse rappelé à l’ordre, le corps le plus pataud devient une sylphide infiniment souple, apte à danser le plus sublime ballet.

Vous êtes une décoratrice de génie. Sous vos doigts qui voltigent tout autour de lui, le pénis n’est plus cette dague flamboyante, triomphante, prête à tout transpercer. Les testicules ne sont plus ses deux insolents acolytes. Tous les trois ne sont plus qu’un modeste matériau au service de votre créativité, comme la cire qui vient les recouvrir, les pinces qui viennent les mordre, les cordons qui les enserrent, les baguettes qui les contraignent. Vous jouez de tout cela, vous l’agencez à votre gré, de tout cela vous faites des chefs d’œuvre. Quel honneur pour le sexe masculin de renoncer à sa fausse vanité d’autrefois, d’être devenu l’humble soubassement caché de somptueuses architectures baroques, fruits de l’inventivité féminine. Comme il accepte volontiers cent brûlures et morsures pour une seule caresse involontaire et furtive, imméritée et d’autant plus délicieuse.

Oui, maîtresse Mira, vous excellez dans tous les arts. Cette matière laide et ridicule, le corps du mâle, vous savez tout le parti esthétique qu’une véritable artiste peut en tirer. Soyez-en remerciée."

Esclave M

 

"B elle Maitresse, bonsoir

Je suis sorti de votre donjon hier soir, avec la sensation de quitter un monde de voluptés étranges, mais voluptés quand meme, pour entrer dans un autre complètement désenchanté.
Il fut un temps, où j'éprouvais les memes impressions, en revenant d'une nuit d'amour ou d'une escapade avec une femme aimée, c'est à dire après des relations bien différentes des punitions et petits supplices que j'ai tant aimés subir de vous.
Depuis hier soir, je cultive le souvenir des sensations qui m'ont le plus délectées : le martinet aux longues lanières, les ciseaux prets à couper, et la lame prete à en faire autant, mais après s'etre amusée avec les boules, destinées à être suspendues comme des pendeloques, et tout cela, infligé par une Maitresse, véritable prêtresse des supplices, déesse redoutable, dont le sourire, par moment, jouissif et sadique faisait tout le piment, toute l'excitation.

Je réalise peu à peu, que ce sont, désormais ,ce genre de plaisirs qui m'attirent et me fascinent, plus que les relations amoureuses, avec une femme pourtant charmante, que j'ai pour amante...

Faut il réagir, et ramener les délices que vous m'avez infligées hier, au niveau de simples distractions, sans importances ?
bien sur je ne changerai en rien mon comportement avec mon entourage, mais je vous avoue, que c'est bien dans votre donjon, que je ressens depuis peu mes pulsions et émotions les plus intenses.

Vous comprendrez bien, qu'il ne m'est pas possible de m'offrir à des rytmes rapprochés ces plaisirs épicés, il me faut attendre quelque temps...!!!
Mais, dès que je pourrai, le désir de retrouver une aussi belle et fascinante déesse, m'amènera à vous demander, si vous auriez encore plaisir à recevoir l'esclave F. pour le fesser au martinet, jouer avec ses boules avant de les couper pour en faire un eunnuque, et lui infliger tous les petits supplices, qui pourraient vous amuser.
C'est en me souvenant de vos dernières paroles, qui répondaient a ma question de vous dire mes pensées, que je me permets de vous adresser cette petite confession

Croyez, Maitresse Mira, en ma vénération d'esclave, pour la déesse que j'aime adorer en vous."

Esclave F


 

Par Mira Domina - Publié dans : CONFIDENCES DE SOUMIS
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Mardi 15 septembre 2009 2 15 /09 /Sep /2009 02:27

J'ai décidé à partir de maintenant de mettre en ligne certains mails qui me sont envoyés après des rendez-vous.
Cet article sera complété régulièrement au fur et à mesure.


LE 28/09/2009 :
Maîtresse,

Quel bonheur se fut pour Votre soumis d'être "manger tout cru" hier après-midi, un plaisir rare. Votre beauté m'a littéralement ravi: jouir devant Vous en admirant Votre visage fut un délice, même offert dans ce sling, même l'anus brûlant comme encore ce matin... ce matin, où devant la glace j'ai souri en découvrant cette légère griffure au sein juste sous un petit bleu...
Maîtresse, Vous m'avez transporté dans des régions insoupsonées où Votre soumis a découvert un plaisir suave à entendre Votre rire, à sentir Votre corps souffler le chaud et le froid. je Vous ai désirée, Maîtresse, d'un désir évident, brutal, comme le papillon désire la flamme, comme le soumis désire la punition. Tout en Vous m'a séduit, de Vos reflets admirés dans la glace, de Vos fesses désirées à travers le tulle noire puis entrevues après la séance, ces fesses qui m'ont étouffé...
J'ai aimé, Maîtresse, comme rarement, comme rarement même les rapports sexuels ont pu me ravir (trop peu de gens se donnent entièrement dans ce qu'ils font), j'ai aimé me soumettre à Vous, être à quatre pattes devant Vous pour réclamer le moindre geste de Vous... jusqu'à cet instant où Vous avez joint Votre bouche à la mienne pour mordre ma langue... puis y cracher... Je ne serai plus qu'une poupée entre Vos mains, Maîtresse, afin de revivre cette intensité des sensations qui me rend encore, à cette heure, rempli de Vous.
Humblement, Votre
D.

LE 27/10/2009
Je tenais a vous remercier pour l'excellente soirée de mardi et je vous confirme que je suis rentré chez moi "en petits morceaux" pour un long sommeil sans rêves tellement cela m'avait fatigué.
J'attend déjà la prochaine fois ....
E.

 

 

Le 14/04/2010
J''ai également apprécié une réelle experte, parfait équilibre entre le geste et la parole, et l'ambiance que vous savez si subtilement créer ! Un doux souvenir qui me fera revenir.
Excellente fin de soirée à vous Maîtresse.
JP
Par Mira Domina - Publié dans : CONFIDENCES DE SOUMIS
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