DEUXIEME RAPPORT DE STAGE DE KASSANDRA
MON DEUXIEME STAGE CHEZ MAITRESSE MIRA
Pour la deuxième fois, j'avais rendez vous chez Maîtresse Mira, et mon Maître était ravi de cet évènement.
Ce mercredi soir, un de ses soumis, que je connaissais, est venu me chercher en voiture, nous allions être dominés ensemble pour cette première soirée.
Une petite heure de trajet vite passée à discuter ensemble, nous avions comme point commun les jeux bdsm, et nous sommes arrivés chez Maîtresse Mira vers 20h 30.. elle nous attendait....
Certes, plus à l'aise que la première fois, mais tout de même un peu inquiète pour la suite des évènements.
Oh , je commence à bien la connaître, et je sais que quand elle domine, elle ne fait pas semblant, sourire, elle donne toute son énergie et sa force......
Après une douche, avec soumis D, nous attendions tous les deux à genoux
dans son donjon.
Nous n'osions nous regarder....
Soumis D me semblait gêner d'être nu, et Maîtresse Mira lui donna à mettre ses bracelets aux poignets et aux chevilles.
Elle lui mis elle même son collier de chien autour de son cou, et le fit mettre debout devant le sling et l'attacha les bras levés.
Elle m'ordonna de me mettre à la croix de Saint André, et me dit: je ne t'attaches pas, mais je ne veux pas que tu bouges..
Un peu déçue, de ne pas être attachée, c'est tellement plus simple de se dire: puisque je suis ainsi emprisonnée, je suis à sa merci; tandis que libre de mes mouvements, je devais me concentrer pour ne pas bouger, et présenter toujours mes fesses bien cambrées.......
Un échauffement au martinet tombait sur nos postérieurs, en cadence, et régulièrement pour l'un comme pour l'autre.
Je sentais le regard de D dans mon dos, mais je percevais surtout que
le rythme lent du départ, s'accentuait, et si j'avais dû compter compter les coups, je n'aurais pu tant la rapidité me surprit.
De doux, le martinet mordait maintenant, et nous arrachaient des gémissements de plaisir pour ma part, et des cris de douleur pour lui.
Soudain, un coup appuyé plus fort à l'intérieur de mes cuisses, me foudroya d'un orgasme violent, et je me mis à couler en abondance.....
Prudente, et me connaissant, Maîtresse Mira avait mis un champ
opératoire bleu, sur la moquette, pour éviter l'inondation.
La cyprine coulait le long de mes jambes, mouillait mes
chaussures....
Je pataugeais, et demandais la permission d'éponger.....
Toute la gamme de ses martinets, languettes de cuir, singletail , marquaient notre peau.
A la lumière rouge du Donjon, nous ne pouvions distinguer nos marques, mais dès que nous passions la main sur notre peau, nous sentions les boursouflures, comme de la tôle ondulée...
La séquence"fouet" avait bien duré 20 minutes..
Nous nous allongeâmes, tête- bêche, pour recevoir la cire de bougie.
Quand je vis Maîtresse Mira prendre de gros cierges, les poser sur la bâche, j'en comptais 6.
La première bougie,coula comme de l'eau d'un robinet, en fusion sur ma peau ! Ce n'était pas quelques gouttes, mais il me semblait recevoir une pluie d'orage, violente et brûlante venue d'un volcan.....
Soumis D se tortillait à côté de moi, il gémissait, et plus nous étions
recouverts de cire, plus le plaisir se diffusait malgré la douleur de la morsure de la lave incandescente...
Un moment j'ai crû que soumis D allait jouir.......
Mes seins, mon sexe ressemblaient à une carapace multicolore, figée et dure.
La cire avait scellé mon sexe et mes piercings, elle m'habillait comme un maillot de bain deux-pièces.....
J'ai essayé de démouler pour souvenir, mais dommage la cire s'effritait.
Avec un couteau , Maîtresse Mira nous enleva le surplus de cire; la lame tranchante effleurait ma peau, je ne bougeais pas d'un pouce, par peur d'un faux mouvement..
Mais la cire s'enlevait bien....
Debout, je me retrouvais les bras levés, attachés au palan, et une douleur vive me surprit.
Maîtresse Mira me posait des pinces ciseaux sur les lèvres du sexe..
Chaque pince posée, m'arrachait un cri, et la douleur arrivait par vague, comme le ressac de l'océan...
En face de moi, soumis D à quatre pattes, se faisait fister et engoder par Mira.
De temps à autre, Maîtresse Mira tirait violemment sur les pinces, et déclenchait ainsi une inondation... je coulais de plaisir, et de douleur mélangés.
A me voir ainsi, jouissante, criant mon plaisir, Maîtresse Mira avec ses mains gantées de latex, masturbait soumis D qui jouit bruyamment.
Pour nous deux, la séance se terminait.
Elle avait duré deux bonnes heures.
Il était tard, nous avons dîné toutes les deux, et nous avons rejoint le lit, tant la fatigue était grande........ Une autre journée nous attendait...
Debout à 6h30!!!! Maîtresse Mira avait des rendez vous pour elle, en ville sur Toulon.
Je la suivais donc, visitant en même temps cette ville que je ne connaissais pas...
Un déjeuner vite pris, Maîtresse Mira avait un rendez vous à 14 h.
Soumis M, que j'avais vu la première fois chez elle, et une autre amie domina étaient là aussi.
Soumis M, allait être gâté, il allait avoir trois dominas pour lui (eh oui, je changeais de rôle)...... mais il allait devoir être à la hauteur.....
Toutes les trois, en cadence, nous l'avons fouetté, du martinet le plus doux, aux instruments les plus durs....
Attaché à la croix de Saint André, il se contorsionnait, gémissait sans arrêt, sa peau rougissait, et des marques apparaissaient sur ses flancs.... Nous ne lui faisions aucun cadeau,.. et sans retenue....
Lié au palan, les bras très hauts, Maîtresse Mira lui fit un bondage très serré des couilles, et nous lui suspendîmes petit à petit..... 14kgs.... en poids, en cailloux,.... en boulets... impressionnant....
Il criait, mais ne demandait pas pitié, et en même temps, il avait des pinces aux seins, reliées à un appareil électrique, qui lui envoyait des décharges régulières, mais qui augmentaient de par l'intensité, et aussi dans la durée..
Il souffrait réellement, nous le soulagions en lui enlevant les poids, les remettant, on le caressait, on essayait de le calmer en lui prenant la tête, on le regardait dans les yeux; nous lui parlions doucement pour qu'il retrouve sa sérénité....
Je lui disais : offres ta douleur à ta Maîtresse Mira.. Et remercie la..
Son corps moite de sueur luisait à la lueur des bougies, il tremblait, et nous eûmes pitié de lui.. Il était fier, il avait battu son record.: 14 kgs de fonte sur ses parties.....
Délivré, de ses poids et de ses pinces, Maîtresse Mira le fit s'allonger sur le ventre, et alluma plusieurs grosses bougies....
Son dos et ses fesses, déjà bien striés par le fouet, étaient sensibles à la brûlure de la cire..
Il se tordait, et nous étions insensibles à sa plainte; son corps devenait carapace, alors nous lui enlevions le surplus pour retrouver la peau nue.. et recommencer.......
Pitié Maîtresses, Pitié, Maîtresses......
Il n'en pouvait plus.... deux heures d'une séance très intense, ses yeux dans le vague encore, brillaient d'une fierté retrouvée.........
Rhabillé, il était encore dans sa bulle.... ses yeux fievreux montraient qu'il n'avait pas encore retrouvé la réalité.....
Assis dans le canapé, un verre à la main il décompressait, heureux de ce moment inoubliable.
Soumis M , nous baisa les pieds en signe de remerciement.
Juste le temps pour moi de prendre une douche et de reprendre mon état normal de soumise.....
J'allais avoir une séance particulière...
Maîtresse Mira allait me dominer devant un voyeur.
A quatre pattes, dans le donjon, je me concentrais..
J'avais les mains moites, et le coeur qui battait très vite...
Je fermais les yeux, et je ne pensais qu'à ma respiration... respirer calmement.
Mets toi sur la croix de Saint André.. je vais commencer par te fouetter.
Le premier coup me surprit par son intensité. Ce n'était pas de l'échauffement...on était déjà dans le vif du sujet.. les coups pleuvaient... et soudain, des larmes jaillirent de mes yeux..
Je pleurais à chaudes larmes, non pas de douleur, mais d'émotion.
Maîtresse Mira surprise et interrogative eut un temps d'arrêt....
Elle vint vers moi, mais je la rassurais en lui disant que c'était des larmes de joie.....
Un orgasme me faucha brutalement , et un geyser de cyprine coula le long de mes jambes...
Suspendue au palan, elle plaça sur mes piercings des poids et des pinces ciseaux, et à nouveau en tirant sur les pinces, elle déclencha un second orgasme dévastateur et mouillé.
Allongée au sol pour recevoir la cire de bougie pour la deuxième fois
en 12 heures, mon corps sensibilisé de la veille, refusait les torrents de lave brûlante, qui se déversaient sur mes seins, mon ventre, mon sexe; je n'étais que sensations, je gémissais, et mes
jambes tressautaient inconsciemment.
La cire fut, comme la veille, enlevée au couteau, mais je n'eus pas un autre répit..
Assise sur un tabouret haut, mes mains enserrant les chaînes du palan, j'entendis le bruit d'un papier qu'on déchire, et je sus qu'elle venait de prendre une aiguille stérile de son étui, et soudain je sentis sur mon dos, sa griffe....
Elle venait de tracer deux sillons en forme de V des épaules au bas du
dos avec l'aiguille...
Voilà me dit elle, au moins je vais suivre correctement le dessin, ainsi ton corset va être parfait......
Un petit filet de sang se mit a perler.... et j'eus un frisson.... elle versait sur ma peau de l'alcool......
La sensation de picotement était intense.. mais ce n'était que le début...
Et la première aiguille traversa deux fois la peau.. En vrai
couturière, elle passait l'aiguille , comme pour faire un ourlet, et prenait un bon morceau de peau à chaque fois...
Je me concentrais pour ne pas bouger, et ne pas gémir, mais parfois un petit cri passait le barrage de mes dents, et brusquement , pour la deuxième fois, mes yeux se remplirent de
larmes...
Je les laissaient couler, de joie, de plaisir, d'émotion, un mélange de bien être.. de plénitude.....
Maîtresse Mira émue , se pencha vers moi, ses yeux aussi étaient humides, et je sentais son émotion..
Voilà me dit-elle.. les deux lignes d'aiguilles sont installées; je vais choisir des jolis rubans, un rouge et un noir..
Dommage, ils étaient un peu court, par rapport aux nombres d'aiguilles
mises, mais le résultat était vraiment très joli.
Quand elle serrait au passage les rubans, les aiguilles tiraient ma peau; j'avais cette sensation d'arrachement.. comme si mes omoplates voulaient se
rapprocher...
Je n'en pouvais plus, mon dos n'était plus qu'une plaie vive, le fouet, la cire de bougie, les aiguilles... avaient eu raison de ma résistance...
La douleur, la fatigue, l'intensité des jeux, la concentration, le plaisir aussi.. me laissèrent pantoise, et je mis un bon moment à revenir de ma bulle...
Douchée et rhabillée, parfumée, prête à retrouver mon Maître, je rentrais chez moi , il était 21 h...
24 heures venaient de se passer..... si vite..... si intense... avec encore l'envie de recommencer...
Mille merci Maîtresse Mira
Mille merci à toi mon amie précieuse
Mille merci à toi ma douce
Soumise Kassandra
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