Jeudi 23 janvier 2014
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EN JANVIER, COMME AU MOIS DE MAI,
FAIS CE QU'IL TE PLAIT
était le thème de soirée...
Et c'est ce qu'on a fait...
Une quarantaine de personnes animées par le même désir de
s'amuser.
Un envol pour Jennyfer Luciferia que m'avait prêté Maîtresse LAURA et qui a failli
s'endormir dans mes cordes.
Un festival de fouets, martinet en tout genre... Un duo infernal avec Cocochanel avec qui j'adore jouer.
Moment de complicité avec Bergamote à qui j'ai apporté mon soutien quand Maître Laurent
l'a entreprise aux martinets et qui, d'ailleurs, m'a fait une magnifique dédicace sur mon article « Qui suis-je ».
Et puis, tiens, je vous le copie encore une fois.
« ***ad « MIRA » ble***
Toute de latex vêtue et perchée sur des bottes improbables de magnificence, elle
est présente dans bon nombre de soirée, blonde et pulpeuse.
Dans sa réserve naturelle de dominatrice, elle observe les gens, les écoute et les
analyse avant de savoir, si elle pourra leur accorder sa confiance. Elle procède toujours ainsi.
Elle a un petit coup de cœur pour les soumises souriantes mais c’est bien les
hommes qu’elle domine et maltraite avec un grand savoir-faire, dans leurs limites et jusqu’aux portes de sa perversité sadique.
Discrète sans être timide, jamais elle ne se targue de ses pratiques. Elle évolue
en soirée, telle une panthère souveraine, impeccable dans sa tenue et chapeautée d’une superbe chevelure blonde parfaitement entretenue.
Mira est très souriante et avenante. Elle sent divinement bon et a la peau douce au
toucher.
Masterlau me fouette, encore et encore. Mon corps maltraité souffre et j’ai du mal
à retenir les tortillements qui agitent mon buste et qui l’agacent tant : « arrête de bouger, sinon je risque de te faire mal ! ».
Il reste sourd à mes gémissements car il sait que je peux encore prendre. Il refuse
de céder au caprice de sa soumise. Il est ainsi, c’est lui qui connaît les limites de l’endurance de sa fouettée.
Je suis solidement attachée par les poignets, la musique, trop forte, m’agresse.
J’ai mal, je ne supporte plus rien. Les larmes arrivent à mes yeux, mon front se plisse en signe d’opposition. Masterlau ne voit pas tous ses signes mais il les devine. Cela ne signe pas
pour autant la fin de la séance !
Mira nous observe. Elle s’assure que Masterlau sait ce qu’il fait et note que la
frappe est adaptée et raisonnable. Elle me regarde, elle voit que je souffre mais estime que c’est d’un tout petit rien, tout à fait acceptable.
D’un regard à mon Maître, elle s’approche de moi et caresse mes cheveux. Je sors
brutalement de mon état de souffrance et je la regarde. Elle est belle, ses yeux sont doux et m’envoient un signal d’apaisement. Elle esquisse un discret sourire. En fait, elle sourit avec le
regard. Elle me transmet un signe de compassion et sa main caressante descend le long de mon bras jusqu’à ma main…
Masterlau reprend son rythme. C’est, pour moi, comme une brutale remise à zéro de
mon endurance. Mais rapidement, mon corps rappelle à l’ordre ses limites atteintes et je geins, avec honte, sous le regard désapprobateur de Mira.
Alors, elle s’enfile entre mes bras et se place face à moi. De ses doigts parfumés,
elle caresse mon visage qu’elle saisit entre ses mains pour m’intimer du regard de respecter ce que m’inflige mon Maître. Il n’en n’a pas encore fini et je peux encore
prendre !
Elle lit la souffrance dans mes yeux mais me transmet sa force et sa détermination.
Elle me coache du regard et me booste. Elle regarde Masterlau par-dessus mon épaule et lui signale d’un hochement de tête que rien de grave ne s’oppose à ce que les coups pleuvent à
nouveau.
De toute façon, je sais que je peux utiliser le safeword au cas où, cela me
deviendrait insupportable et que je me sente en danger. Je n’en ferai rien cette fois encore !
Je la regarde m’encourager du regard. Je sens sa force de dominatrice passer dans
ses yeux. Elle entre dans notre bulle et me soutient tel un entraîneur. Elle prend le risque d’une caresse sur le haut de mon dos, sur mes bras car elle a confiance en Masterlau et elle sait
qu’il ne la touchera pas de son fouet. »
Merci Bergamote...
Nous avons quitté le club aux alentours de 3 heures du matin. Une bien belle
reprise.
A bientôt pour la prochaine le samedi 22 février
« Les Maîtresses se déchaînent »
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